Il existe toutefois de très rares situations où un enfant peut perdre son droit à l’héritage. C’est ce qu’on appelle l’indignité successorale.
Elle s’applique uniquement si l’enfant a commis des actes graves contre le parent, comme :
avoir attenté à sa vie,
avoir commis des violences graves,
avoir témoigné faussement contre lui dans une affaire pénale.
Dans ces cas extrêmes, le tribunal peut décider d’exclure l’enfant de la succession.
Mais attention : il faut une décision de justice, et la procédure est souvent longue et éprouvante émotionnellement.
Au-delà de la loi, la question du désintérêt familial soulève un autre débat : celui du pardon et du lien affectif. Beaucoup de parents ne cherchent pas forcément à punir, mais à exprimer une douleur – celle d’avoir été rejetés, ignorés, ou effacés de la vie de leurs enfants.
Le notaire, dans ces situations, devient parfois un confident, tentant de concilier la raison et le cœur. Car si la loi protège la réserve, elle ne peut rien contre la tristesse d’un parent vieillissant, face à un numéro qui ne répond plus.
En France, déshériter complètement un enfant est juridiquement impossible, sauf en cas d’indignité grave. Mais la loi offre tout de même des marges de manœuvre pour rééquilibrer une succession.
Cependant, avant de chercher à contourner la règle, beaucoup de notaires conseillent de tenter la réconciliation. Car aucune stratégie patrimoniale, aussi habile soit-elle, ne peut remplacer la paix retrouvée d’une relation apaisée.
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